Godelieve Bieswal
« Lignes de traverse”
Sérigraphies, collages et cyanotypes
Vernissage vendredi 23 mai 18h30 > 21h
Expo du 24 mai au 6 septembre 2025
Le médium de prédilection de cette artiste bruxelloise est la sérigraphie. Les motifs, les lignes et les formes géométriques sont au cœur de ses inspirations. Le point de départ de sa recherche et de son
travail est le monde de l’architecture et plus spécifiquement le thème de la fenêtre d’où émerge une abstraction géométrique audacieuse et colorée. Pour elle, une fenêtre se situe entre deux espaces : entre l’intérieur et l’extérieur, entre l’ouverture et le confinement.
Parallèlement à son travail de sérigraphie, elle explore des techniques anciennes de photographies, telles que le cyanotype et le sténopé. Pour cette exposition, elle présente un travail en cours autour de la rivière.




Sérigraphies sur carton marouflé sur bois – 40 x 60 cm
Au bord de la rivière
La photographie – et l’image en général – occupe également une place importante dans la pratique artistique de Godelieve Bieswal. Parallèlement à son travail de sérigraphie, elle explore des techniques anciennes de photographies, telles que le cyanotype et le sténopé. Pour cette exposition, elle a choisi de nous présenter son travail en cours en cyanotype. Depuis de nombreuses année, l’artiste conserve ou collecte d’anciennes photographies. Ces clichés qui alimentent son imaginaire proviennent de son patrimoine familial, ont été trouvés sur les marchés aux puces ou même en rue.
Dans cette exposition, des photographies datant de 1900 prises par l’arrière grand-mère de l’artiste, des photos d’enfance de sa mère, des clichés de vacances de sa propre enfance et de ses enfants côtoient des images d’inconnus.
Le thème de la rivière comme fil conducteur entre les générations, les lieux, les époques. Dans le paysage, une ligne qui traverse les âges.
Ces images sont ancrées simultanément dans une histoire personnelle et dans un patrimoine collectif. Le choix de la technique du cyanotype ajoute une dimension intemporelle et poétique. Tandis que les points que Godelieve a minutieusement brodés sur chaque oeuvre leur donne un caractère unique et vivant.

« Le bouquet » années 30

Cyanotype, virage, aquarelle, et broderie
« La pêche au trésor » années 50